Au dernier Sommet de Paris pour un nouveau pacte financier mondial, le secteur aérien a une nouvelle fois été épargné par les réflexions sur de nouvelles taxes et ce, alors qu’il représente 6 % des émissions de CO₂.
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C’est les vacances, vous allez peut-être prendre l’avion. Pour Rome par exemple. Votre conscience écologique n’est pas très sereine (vous allez émettre quarante fois plus de CO2 qu’en train). Mais bah, il faut savoir vivre avec ses contradictions. Peut-être auriez-vous accepté de subir les quatorze heures de train si le voyage en avion de deux heures dix était hors de prix, mais ce n’est pas le cas. L’aller-retour à Rome vous a coûté 200 euros ; en train, vous en auriez eu pour 360 euros !
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On marche sur la tête. Comment une telle situation est-elle possible à l’heure de l’urgence climatique ? Environ 6 % des émissions de CO2 sont liées au trafic aérien (dont 2,6 % aux vols, stricto sensu). Et le trafic double tous les quinze ans. Pourtant, si l’on veut respecter la trajectoire carbone que l’on s’est fixée (soit une baisse de 55 % en 2030), il faudrait que ce secteur décroisse (ah, l’horrible mot !). Pas d’autre solution. A la diff…
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