Noée Abita : « “Première Affaire” rappelle les romans d’initiation et d’émancipation du XIXe siècle »

Noée Abita dans « Première Affaire », de Victoria Musiedlak, en salle le 24 avril 2024.

Noée Abita dans « Première Affaire », de Victoria Musiedlak, en salle le 24 avril 2024. TANDEM FILMS

Entretien  Elle marque de sa présence faussement fragile et délicatement forte le cinéma français. L’actrice est à l’affiche d’un polar initiatique, « Première Affaire », coup d’essai de Victoria Musiedlak.

Découverte en 2017 avec « Ava » de Léa Mysius, Noée Abita a depuis multiplié les films, comme « Slalom » de Charlène Favier ou « les Passagers de la nuit » de Mikhaël Hers. Dans « Première Affaire », de Victoria Musiedlak, elle campe une jeune avocate récemment diplômée, Nora, qui se retrouve sans y être préparée à travailler sur sa première affaire pénale : un crime sordide. Celui-ci va malmener ses illusions et la pousser à affirmer sa place, tant au sein du système judiciaire que dans sa vie personnelle. Entretien.

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Très jeune, vous rêviez déjà d’être comédienne. A quoi ressemblait ce rêve ?

Noée Abita A la manière dont une enfant peut imaginer ce métier. J’avais envie de pouvoir me déguiser et de revêtir plusieurs vies différentes. C’était quelque chose de très insouciant. L’idée d’en faire un métier, je l’ai énoncée un peu plus tard, après avoir fait mon premier film. J’avais vécu cela comme une grande expérience. Je me suis dit que je me sentais vraiment …

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