Paris 2024 | Méril Loquette : « En valide, ça serait une vie de folie, mais en paralympique, c’est une vie de smicard »
Portrait Le joueur de parabadminton multiplie les tournois pour s’entraîner avant les JO de Paris. Des compétitions qui sont autant une passion qu’une charge financière, qu’il peine à assumer malgré l’aide financière, insuffisante, de sa fédération sportive.
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En ce mois de janvier 2024, Méril Loquette est confiant. Après un quart de final lors du tournoi international de Dubaï, en décembre dernier, la qualification pour les Jeux paralympiques est quasiment actée. « Officieusement, je suis qualifié. Mon résultat à Dubaï a confirmé ma place dans le top cinq mondial », confirme-t-il. A six mois des Jeux de Paris, le joueur de parabadminton se prépare pour les championnats du monde qui débutent le 20 février à Pattaya, en Thaïlande, où il espère « faire une médaille ». Il vient de terminer un stage intensif de deux semaines en Indonésie pour se préparer au style de jeu asiatique et s’acclimater au décalage horaire.
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Sportivement, un podium lui permettrait de se rapprocher d’une troisième place mondiale encore à portée de main. Cette performance permettrait aussi à Méril Loquette de faire parler davantage de lui : « La Fédération [française de badminton, NDLR] aura plus confiance en mes chances de médaille aux Jeux et pourrait ainsi attribuer une des accréditations à mon entraîneur pour qu’il m’accompagne. Et financièrement, ça aidera », explique-t-il pragma…
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