« La Machine à écrire et autres sources de tracas » : le dernier volet du triptyque de Nicolas Philibert sur la psychiatrie
Critique Documentaire par Nicolas Philibert (France, 1h20). En salle le 17 avril ★★★★☆
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Après « Sur l’Adamant » et sa péniche, lieu d’accueil alternatif, après « Averroès et Rosa Parks » et son hôpital où soignants et soignés échangeaient, voici le dernier volet du triptyque de Nicolas Philibert. Cette fois, nous entrons chez les patients, à la suite d’une petite équipe de bricoleurs venus les aider à remettre en marche une machine à écrire ou un lecteur CD.
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Avoir vu les films précédents donne une familiarité. A force, on reconnaît ces hommes et ces femmes. Et peut-être les connaît-on un peu ? Ici, leur décor, leur accueil dévoilent une autre strate. Le fait que leurs « tracas » se portent sur des objets matériels est troublant. Touchant. Chacun à leur façon, ces trois documentaires approchent la nécessité et la difficulté de réparer les vivants.
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