« Viol, défi de justice », parole contre parole
Critique La documentariste Marie Bonhommet filme pour la première fois une audience de la cour criminelle et met en lumière la complexité de ces procès de l’intime. Ce soir à 21h05 sur France 5.
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Pourquoi avoir choisi de suivre le procès de ce viol « ordinaire » à la première cour criminelle de l’Hexagone, à Nantes ?
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Marie Bonhommet. Parce qu’il s’agit d’une affaire tristement classique et qu’à ce titre elle est représentative de la majeure partie des dossiers de plainte pour viol. Dans 90 % des cas, l’agresseur est connu de la victime. Et ces agressions sont, la plupart du temps, perpétrées dans un cadre amical, professionnel ou familial. Celle de Sarah s’est déroulée dans le huis clos d’une chambre, lors d’une soirée entre amis. Elle accuse l’un des invité…
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